L’objectif des travaux proposés par l’équipe est de :
quantifier les effets de l’injection de CO2 sur le milieu naturel en fonction des différents paramètres de stockage (minéralogie, vitesse d’injection, etc ...),
puis de prédire le devenir à long terme de la zone de stockage et des couches de confinement.
Cette étude se décline en quatre volets visant à caractériser et modéliser :
les processus de transfert à champ proche liés à la dissolution acide,
la séquestration minérale en roche sédimentaire ou ultrabasique,
l’intégrité des couvertures argilitiques,
les couplages bio-géochimiques.